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AXA IM : papa et maman, gestionnaires financiers ?

Les enfants d'aujourd'hui sont férus de jeux vidéo et de téléphones portables, mais l'achat des derniers modèles de consoles et autres gadgets est, pour de nombreux parents, le cadet de leurs soucis financiers.

Serge Pizem, Global Head of Multi-Asset Investments

Les enfants d'aujourd'hui sont férus de jeux vidéo et de téléphones portables, mais l'achat des derniers modèles de consoles et autres gadgets est, pour de nombreux parents, le cadet de leurs soucis financiers.

Le coût moyen de l'éducation d'un enfant varie d'un pays à l'autre. Mais les chiffres publiés chaque année ont un point commun : le montant nécessaire pour élever sa progéniture jusqu'à l'âge de 18 ans est beaucoup plus élevé que ce que l'on peut imaginer.

Selon les estimations des dernières années, ce chiffre avoisinerait les 230 000 dollars pour un enfant en Amérique[1] et 230 000 livres sterling au Royaume-Uni[2], et il est probable que ces sommes ne feront qu'augmenter.

Par ailleurs, le coût lié à l'éducation d'un enfant ne s'arrête pas à 18 ans. Les parents (et les grands-parents) réalisent qu'il est important, par choix ou par nécessité, de subvenir aux besoins de leurs enfants, même à l'âge adulte. Les plus grosses dépenses sont généralement les frais de scolarité, qui peuvent atteindre des montants très élevés, auxquels s'ajoutent les frais courants des étudiants qui ne résident pas chez leurs parents.

Un sondage mené récemment au Royaume-Uni révèle que les parents consacrent jusqu'à 360 livres sterling (environ 415 euros) par mois pour subvenir aux besoins de leurs enfants à l'université, certains d'entre eux étant contraints de prendre un deuxième emploi pour faire face aux factures, au loyer et aux dépenses alimentaires de leurs enfants étudiants.[3]

En matière d'accès à un logement abordable, l’écart entre la génération des baby-boomers et leurs enfants a atteint un seuil critique. Au Canada, par exemple, il faut désormais 13 ans en moyenne pour épargner la somme équivalente à un acompte de 20 % sur une maison, contre 5 ans pour la génération précédente en 1976, d'après un rapport de Generation Squeeze[4].

Une autre étude britannique révèle que les parents donnent en moyenne 24 100 livres sterling (environ 28 000 euros) à leurs enfants pour leur permettre d'accéder au marché de l'immobilier, un chiffre qui élève les « parents banquiers » au 11e rang parmi les plus gros prêteurs immobiliers du pays[5].

Une autre approche

Dans un contexte prolongé de taux d'intérêt très bas dans lequel le rendement des liquidités reste négligeable, il peut être nécessaire pour les parents ou tuteurs d'adopter une autre approche.

L'enquête « Voices » menée par AXA IM auprès des consommateurs de plusieurs pays montre que les avoirs liquides restent trop importants aux yeux d'un grand nombre de personnes. Par exemple, seuls 24 % des Britanniques détiennent un produit d'investissement. En Italie, ce chiffre tombe à 22 %, et il est encore moins élevé en France (10 %). Il ne s'agit donc peut-être plus de parler de « parents banquiers », mais plutôt de « parents gestionnaires financiers ».

Aujourd’hui plus que jamais, on est contraint d’anticiper et de songer à faire fructifier son patrimoine sur une plus longue période qu’avant. Dans un contexte aussi imprévisible, investir en vue d'obtenir des flux de revenus réguliers et des rendements stables n'est pas chose aisée. Et lorsqu’il s’agit d’investir pour l'avenir de leurs enfants, la plupart des parents préfèreront adopter une approche moins risquée et donc plus diversifiée. C'est pourquoi une stratégie multi-actifs gérée de manière active peut aider les investisseurs à remplir leurs objectifs à long terme.

Les stratégies multi-actifs offrent une plus grande diversification, un atout susceptible de protéger contre la volatilité. En fonction des conditions prévalant sur le marché, les gérants de portefeuille peuvent surpondérer ou sous-pondérer différents actifs au sein d'un vaste univers.

Les fonds multi-actifs réunissent les qualités les plus attrayantes de plusieurs classes d’actifs, ce qui peut permettre aux investisseurs de remplir les objectifs financiers qu'ils se sont fixés (conservation du capital, plus-value ou rendement). Ils peuvent également viser à couvrir les portefeuilles contre certains risques et événements spécifiques.

Liquidités versus marchés – Adopter une vision à long terme

Bien qu’il soit préférable de ne jamais considérer les performances passées comme un indicateur des résultats futurs, la comparaison entre les performances des produits d'épargne et celles des placements au cours des dernières années est frappante. Par exemple, au cours des cinq dernières années, les obligations d’État mondiales ont affiché une performance annualisée de 7,95 %, telle que mesurée par l’indice JPMorgan Global Government Bond[6]. Parallèlement, les actions mondiales ont progressé de 13,3 % par an en moyenne au cours de la même période, selon l’indice MSCI All Country World[7]. Jamais de tels gains n'auraient été obtenus avec des dépôts en espèces.

De la même façon, l’investissement doit toujours être envisagé dans une perspective à long terme et, dans l’idéal, plus l’investisseur (et le parent) commence tôt, mieux c’est. Par exemple, en se basant sur une croissance annuelle moyenne de 4 %, si les parents attentifs à leurs finances commencent à investir 100 dollars par mois à la naissance de leur enfant, la cagnotte de ce dernier à l'âge de 18 ans vaudra 30 977 dollars (soit à peu près 27 920 euros)[8], ce qui constitue déjà un excellent départ dans sa vie d'adulte.

Ce qui est clair cependant, et ce, quel que soit le mode d'investissement choisi par les parents, c'est que plus ils agiront tôt, mieux ce sera. De plus, les avantages des stratégies multi-actifs en termes de diversification peuvent leur permettre de faire face aux aléas du marché à long terme et les aider à relever les défis financiers de demain.

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[1] 233 610 dollars - US Department of Agriculture, 2017 https://www.fns.usda.gov/resource/expenditures-children-families-reports-all-years
[2] 231 843 livres sterling – Liverpool Victoria/ Centre of Economic and Business Research, 2016 https://www.lv.com/about-us/press/cost-of-a-child-2016
[3] Source : Which? Juillet 2019 https://www.which.co.uk/news/2019/07/parents-skipping-holidays-to-suppo…
[4] Source : Straddling the gap, Generation Squeeze, juin 2019 https://www.gensqueeze.ca/straddling_the_gap
[5] Source : Legal & General/CEBR, juin 2019 https://www.legalandgeneral.com/existing-customers/bomad/
[6] Source : FactSet, Morningstar, FTSE, Bloomberg, au 30 septembre 2019, performance total brute en livres sterling
[7] Source : FactSet, Morningstar, FTSE, Bloomberg, au 30 septembre 2019, performance total brute en livres sterling
[8] Chiffre basé sur le calculateur d'intérêts composés d'investor.gov, avec intérêts composés annuellement