Au cœur de la recherche financière se trouve une question apparemment simple : quel est le rapport risque/rendement des actions et des obligations d’entreprises ? Une nouvelle étude basée sur la Bourse belge entre 1850 et 1913 montre que la réponse change fondamentalement lorsque l’on tient compte de l’illiquidité.
Pour lire cet article, vous avez besoin d'un abonnement à Investment Officer. Si vous n'avez pas encore d'abonnement, cliquez sur 'Abonner' pour connaître les différentes formules d'abonnement.